mercredi 27 octobre 2010

Charlebois un auteur ? Pas vraiment !

Je pense vous avoir déjà entretenu sur la chose, mais puisqu’un grand maître vient de me donner raison, j’y reviens …

Charlebois dans les années 70, c’était mon idole total. J’aimais absolument tout de lui. Puis les années ont passé et sa production est devenue moins … attirante et le monsieur vieillissant et … bourgeois. Mais bon, le passé est toujours présent dans ma tête et j’aime toujours ces maudites belles chansons de cette époque bénie de ma vie.

Avec les années, j’ai toutefois remarqué une chose : Robert Charlebois n’as pas ÉCRIT beaucoup de chansons. Il en a fait la musique, les a chantées mais pour les mots, ce sont d’autres auteurs qui lui ont fourni cette partie de ses tubes. Oui, il a écrit Joe Finger Ledoux (une de mes préférées) mais ses gros tubes, ce sont d’autres qui les ont écrits. Donc, disais-je, Robert Charlebois ne peut, honnêtement, se prétendre AUTEUR-compositeur-interprète. C’est d’ailleurs une source de chicane importante avec mon pote Jean-Louis quand je vais le visiter dans l’ouest de l’AUTRE pays.

Mais revenons à nos … moutons. Charlebois vient de sortir un nouveau CD qu’il est d’ailleurs allé présenter dimanche dernier à l’émission Tout le Monde en Parle. Ça s’intitule « Tout est bien ». Voilà que le journaliste Alain Brunet (le critique musical le plus respecté d’entre tous) en fait la critique sur son bloque Cyberpresse (ça se trouve ICI). Il le trouve « ordinaire » sans jeu de mots. Dans les commentaires, j’y suis allé du mien en insistant sur le côté non-auteur de celui qu’on appelait Garou. Voici ce que ça donne

De Crocomick : Charlebois, c’est un chanteur et un mélodiste. Pas un auteur. Ses grands succès (les vrais GRANDS succès) il ne les a pas écrits. Il en a composé la musique mais les paroles viennent d’autres. Nommez-les vous verrez bien qu’il n’en a presque pas écrit : Lindbergh (Pélo), Québec Love (Gadouas) Ordinaire (Mouffe) Fais toi z’en pas (Ducharme ) etc etc. Mélodiste oui. Grand auteur = non. Même dans le bon vieux temps !!!

Et monsieur Brunet de renchérir avec son commentaire par la suite :

De Alain Brunet : … Au cours des 35 ans ayant succédé à la période de grande inspiration, Garou (le vrai) est devenu trop proche de la pop française hyper-convenue… pour ne pas dire la variété ordinaire. Albums sans facture singulière dans la réalisation. Sans surprises. Sans risque. Sans exploration. Sans irrévérence. En tant que compositeur, il est resté un bon mélodiste mais ses structures harmoniques sont restées plus ou moins similaires. Ça s’entend encore sur le dernier album. En tant qu’auteur, son travail demeure très moyen et je suis d’accord avec crocomick lorsqu’il (ou elle) cite les auteurs de ses meilleures chansons. Le plus grand étant Réjean Ducharme, n’est-ce pas ? En tant que chanteur et showman, toutefois, Charlebois est resté excellent.


Depuis, si vous saviez comme la tête m’enfle !!!

mardi 26 octobre 2010

Le temps passe ...

Au travers de la grande vitrine de mon salon, il y a un magnifique arbre sur la rue et c'est le seul qui a encore son feuillage d'un jaune magnifique. Ça fait un bon quinze minutes que je l'observe et ya pas une seule petite seconde où il n'y avait pas une feuille en train de tomber. Pas une seconde !

Voilà! C'était ma principale occupation aujourd'hui ...

lundi 25 octobre 2010

Aimer l'automne

Il y a beaucoup de québécois qui aiment l'automne, cette étrange saison de transition entre la grosse chaleur et le gros frette. Je les comprenais facilement samedi, en visite chez mon pote à Mascouche. Sur la terrasse arrière, ce magnifique soleil qui venait ... magnifier (!) les couleurs environnantes et nous réchauffer la couenne qui n'en demandait pas mieux.

Mais en ce lundi tristounet, je comprends moins leur amour. Les feuilles jonchent le sol, les arbres dénudés et cette satanée pluie légère mais collante et persistante. Pas question d'aller me réchauffer la couenne. Nenni ! On se surprend même à espérer la première neige pour corriger le tableau du peintre qui dort dans notre cervelle.

Mais il y aura toujours des amateurs de spleen et de la tristesse qui s'y colle invariablement et je les jalouse un peu d'être capables de trouver un réconfort dans cette journée merdique !

vendredi 22 octobre 2010

Chaud au coeur

Ça m'a vraiment RÉJOUI d'apprendre le succès de Yannick Nézet-Séguin avec l'orchestre philarmonique de Berlin. Ce type-là est fort sympathique et d'aller chausser les souliers de Herbert Von Karajan tout en emballant la critique et le public de Berlin, c'est formidable.

En entrevue comme ailleurs, le chef québécois demeure simple et ne semble pas être tombé du ciel comme la plupart de ses collègues du même niveau.

Quand on arrive devant cette centaine de musiciens réputés comme les meilleurs au monde, le gorgoton ne doit pas laisser passer beaucoup de salive mais ce Yannick a passé le test et son sourire n'avait rien de triomphant : simplement du bonheur.

Bravo !

Et il n'a que 35 ans ...

jeudi 21 octobre 2010

Garland Jeffreys et moi ...

Une autre « brillante » intervention du blogueur. Ça se déroule au Festival de Jazz, je dirais vers les 2002. Dans le centre-ville, une petite scène pas très loin de celle (plus grande) du Blues. Deux spectacles collés de Garland Jeffreys. J’adore ce chanteur grand ami de Lou Reed et qui nous a livré des succès tels que Spanish Town, Wild in the Streets et New-York Skylights.

J’y suis avec Chantal et, pour le premier spectacle, nous avons même déniché nos places à l’avant, bien assis à une table avec nos bières à la main. Garland Jeffreys impeccable comme d’habitude (je l’avais déjà vu au Club Soda en 1990) avec son éternel chapeau. Il y avait d’ailleurs une patère sur scène avec une dizaine de couvre-chefs qu’il a utilisés au gré de son bon vouloir. Et les tubes qui défilent et font le bonheur de l’assistance …

Puis le premier show se termine. Il reprendra dans une heure nous prévient-on. On reste à nos tables et attendons le prochain départ. Un peu plus tard, j’aperçois un petit attroupement sur le côté droit de la scène. En observant davantage, je me rends compte que c’est bel et bien Garland Jeffreys qui signe des autographes. Hey ! Mais je vais y aller bien sûr !

D’autant plus que j’ai avec moi un CD contenant plusieurs chansons de l’artiste. Un CD que m’a fait mon pote, bien connu sous le vocable de Mister Love, et sur lequel la pochette est remplacée par une feuille contenant la liste des tounes inscrites et leurs auteurs. Voilà l’image que vous voyez en haut du texte.

Je me place donc en ligne derrière la dizaine de fans devant moi et on avance lentement. Garland est là et il signe des choses tout en échangeant quelques mots rapides avec chacun. Tout petit qu’il est (5 pieds deux pouces max !), avec son chapeau (bien sûr), sa chemise écarlate de couleurs et ce sourire reggae.

J’arrive. C’est mon tour. Il regarde mon disque, me regarde la face, signe le document et me dit (en anglais) : « La prochaine fois, man, achète donc un disque neuf. Ça serait plus sympathique et agréable à signer … ». Il a vraiment signé (cliquez la photo, vous verrez).

J’ai alors réalisé ma bêtise de conard et suis reparti la tête entre les deux jambes.

Mais le deuxième spectacle était quand même meilleur que le premier. Un pro, je vous dis !

mercredi 20 octobre 2010

Grrrrr !

Dans son Mots Croisés compliqué de La Presse du weekend dernier, Michel Hannequart m'a fait rager avec cette définition dont je n'ai pas trouvé la solution.

Mot de six lettres : l'ancêtre du courriel ?

Réponse : pigeon !

Grrrrr !

mardi 19 octobre 2010

Il était temps !

Vous êtes francophone? Vous êtes financièrement très à l’aise? Vous êtes un avocat qui charge entre $150 et $200 de l’heure? Vous êtes propriétaire d’une pme qui engrange les profits et vous les verse trimestriellement en dividendes? Vous êtes spécialiste en médecine et votre clientèle déborde comme votre portefeuille? Votre revenu annuel net nage allègrement dans les six chiffres? Ou bien vous êtes éditorialiste au journal La Presse?

J’ai une bonne nouvelle pour vous. John James Charest vient tout juste de vous ouvrir la porte pour l’éducation de vos enfants dans la vraie langue d’Amérique. Moyennant quelques $30,000 vous pourrez envoyer vos enfants dans une école privée anglophone non-subventionnée pendant trois années et ensuite … vive les économies ! Vous pourrez faire instruire vos héritiers en anglais dans une école publique subventionnée sans déboursé additionnel et ainsi récupérer et rentabiliser votre investissement initial.

Tout ça est définitivement enchâssé dans la loi québécoise. Il était grandement temps. La vie est belle, non ?

Vous êtes évidemment invité à verser annuellement quelques centaines de dollars à la caisse électorale du parti de John James Charest, une dépense qui, je vous le rappelle, est entièrement déductible pour vos impôts.


dimanche 17 octobre 2010

Saint-Frère-André n'est pas seul !

C'est officiellement aujourd'hui que notre Frère André est devenu Saint. Dans l'avalanche de nouvelles et d'informations qui nous atteignent depuis deux semaines, il en est une qui m'a laissé pantois. Je vous pose la question :

Durant son pontificat de 26 années, savez-vous combien le si populaire Jean-Paul 2 (surnommé Ti-Tou par Claude Meunier) a officialisé de saints ? Allez ! Un petit effort !

J'ai posé la question avant-hier à un bon ami. Après réflexion, il m'a répondu ... " Quatre ou cinq ?"

Hé bien , la réponse exacte est ... quatre-cent-quatre-vingt-trois ! Sans blague. Ça fait quelque chose comme dix-huit nouveaux saints par année. Allez ! Avouez que je vous ai eus. Posez la question dans votre entourage, vous récolterez l'ébahissement.

Ça m'a fait penser à une sorte de loterie pour populariser les édifices religieux autour du globe.

jeudi 14 octobre 2010

Chez Wal-Mart ...

Ma chum de Joliette m'expédiait cette blague qui m'a bien fait rire. Je vous la refile.

Cet après-midi j'attendais en ligne chez Wal-Mart pour payer une grosse poche de manger à chien. La madame derrière moi me demande : "Vous avez un chien? "

Quelle épaisse!

Alors je réponds : "Ben non, j'ai pas de chien, je débute aujourd'hui la diète Purina ... Je sais que je ne devrais pas, parce que la dernière fois que je l' ai fait, je me suis ramassée à l'hôpital aux soins intensifs avec des tubes qui me sortaient de partout. Mais puisque j'ai perdu 50 livres la dernière fois, je me dis "Au diable, j'essaye de nouveau!"

La bonne-femme est très intéressée ainsi que la caissière et le monsieur en ligne également. Je poursuis en disant que la diète est très simple: chaque fois qu'on a faim, on mange 2-3 croquettes et ça coupe l'appétit. C'est une formule nutritionnelle complète, alors pas de problème. Alors la madame me demande:

"Vous en avez trop mangé et ça vous a empoisonnée, c'est pour ça que vous vous êtes ramassée à l'hôpital?"

Et moi de répondre : "Ben non ! C'est parce que je me léchais le cul en plein milieu de la rue et je me suis fait frapper par une auto".

Le gars en ligne est parti en courant vers la sortie en se tordant de rire ...

Quand je suis partie, la madame était toujours en ligne la bouche ouverte ...

Hé que le monde est innocent !

Merci Manon

mardi 12 octobre 2010

???????????

Les syndiqués du Journal de Montréal viennent de refuser les offres de Québécor à 89%.

La Presse en parle sur Cyberpresse.

La SRC en a parlé au Téléjournal.

Sur Canoe (Journal de Montréal) = pas un mot !

Sur Frontenac (journal web des syndiqués) = pas un mot !

Ça fait quand même 5 heures que les résultats du vote sont connus ...

Vous y comprenez quelque chose ?

Tex Lecor (suite et fin)

Vous vous rappelez des fameuses Insolences au Téléphone que faisait Tex Lecor à la radio (CKAC, sauf erreur). J’en ai une autre pas pire à vous raconter.

Je vous ai dit dans mon billet précédent que j’avais rencontré Tex dans les années 90 au Boudoir du Nord sur la rue Saint-Denis. Il était arrivé sur le tard, habillé en motard, avec deux superbes poupounes très sexy. En fait, ils revenaient du show annuel Harley-Davidson.

Après avoir placoté un peu avec Tex (dont ce souvenir de mon adolescence), je suis sorti dans l’entrée du bar et j’ai utilisé le téléphone public. Le barman du Boudoir a répondu et j’ai demandé pour parler à Tex Lecor.

- Salut Tex !

- Salut !

- C’est moi Louis-Paul ! (Allard, son ami co-animateur radio et télé)

- Ah ben salut Louis-Paul.

- Là j’viens de te pogner avec deux poupounes blondes dans un bar !

- Comment t’as appris ça toué ?

- J’ai mes contacts. M’as t’en parler demain. Salut !

Et j’ai fermé la ligne. Quinze minutes plus tard, je suis retourné au bar pour demander à Tex s’il avait eu un téléphone de son chum Allard.

- Comment tu sais ça toué ?

- Ben, c’était moi et je t’ai pogné à MES INSOLENCES !

- Ah ben câlisse ! Waiter ! Enweille--z-y une autre bière !

Voilà comment j’ai piégé le roi des insolences au téléphone.

Rigoureusement exact !

lundi 11 octobre 2010

Tex Lecor, le dernier des vrais

C'était son slogan à l'époque ...

Hier soir, j’écoutais l’émission de Guy A lorsque Tex Lecor est arrivé. En passant, la fameuse toune Le Frigidaire n’est pas de lui mais bien du madelinot Georges Langford qui lui en a cédé les droits. (De source sûre, j'ai appris que la SRC avait reçu plusieurs téléphones et courriels de madelinots réclamant que Guy A précise l'origine de la chanson).

Tex disais-je, septuagénaire et fort sympathique qui nous apprend qu’il est sobre depuis maintenant 18 ans. Ce qui m’a rappelé cette anecdote qu’il me faut vous rapporter.

Dans les années soixante, je suis dans l’adolescence. Un bô carnaval d’hiver dans mon village de Thurso dans l’Outaouais et cette année, la grande vedette du grand spectacle du samedi soir présenté dans la salle de l’école Maria-Goretti, hé bien ça sera le chansonnier fort connu Tex Lecor !

Fin de l’après-midi, je me dirige vers la salle de réunion (et bar privé) des Chevaliers-de-Colomb. Mon père, le patron du groupe, me permet de brèves incursions pour visionner la télévision en couleurs (!!!) l’une des seules du village. J’y arrive donc et j’y vois mon père avec son air inquiet. Les Chevaliers sont les organisateurs du Carnaval et Tex Lecor est dans la place avec son frère. Mais dans quel état ! Tex est assis à une table et son haut du corps complètement allongé sur cette fameuse table : il est saoul ben raide.

Me rappelle avoir vu papa parler au frère de Tex et lui dire qu’il avait un show à donner dans les deux heures. Le frère en question a rétorqué : « Inquiétez-vous pas monsieur, je vous garantis qu’il va vous donner le meilleur show de sa vie ! ». Rien de moins !

Et le frère de traîner Tex vers les toilettes pendant que tout le monde présent affichait un air d’incrédulité.

Ils sont ressortis environ quinze minutes plus tard. Tex se frottait les yeux. Je suis parti.

Plus tard dans la soirée, assis dans la première rangée, j’ai vu ce gaillard donner un show formidable, avec toutes ces histoires folles racontées entre chaque chanson. Un professionnel sur toute la ligne.

J’ai revu Tex dans les années 90, dans un bar de Villeray sur la rue Saint-Denis, aux petites heures. Je l’avais abordé et pris une bière avec lui. Je lui ai raconté mon souvenir d’adolescence et il n’en avait évidemment aucun souvenir.

De voir son fier sourire quand il a déclaré son abstinence de 18 ans à Guy A, je l’ai cru.

samedi 9 octobre 2010

LE cadeau

Cet après-midi, nous étions une bonne vingtaine pour célébrer le 4ième aniversaire de Sir James. Bien sûr qu’il a reçu une multitude de cadeaux. Mais il y avait LE cadeau. Celui qui a surpassé tous les autres. Croyez-le ou non, James a reçu la visite de … Mickey Mouse !

Hey ! Mickey Mouse pour lui tout seul ! Vous auriez dû voir les yeux de cet enfant complètement ébahi par le personnage campé par la belle et grande Marie-Pierre. James était au ciel. Il a même déballé quelques cadeaux avec Mickey qui, après quinze minutes, se devait de partir pour s’en aller en Floride chez Disney (où James le reverra dans deux semaines). Rien que pour vous dire, James voulait nous quitter et partir avec son Mickey Mouse.

Vivement le 5 ième anniversaire !

James adore Mickey
Placotage entre amis
Des adieux déchirants !

vendredi 8 octobre 2010

Petit cadeau cool

Dans la multitude de courriels qui aboutissent sur votre ordi, il y en a quelques rares qui sont plaisants, rafraîchissants, voire ... reposants. J'ai reçu ce petit bijou d'une belle grande folle de la région de Saint-Jérôme et j'adore.

Il s'agit simplement d'un aquarium. Mais pas n'importe lequel : une cage vitrée immense (en fait la deuxième plus grande sur terre) située à Okinawa au Japon. Un court film de quatre minutes accompagné d'une musique calmante et ... ces incroyables poissons qui circulent dans votre écran (que vous aurez mis en mode plein écran bien sûr). Je vous l'affirme : ça repose vraiment. Vous saurez me le dire.

Pour que la blonde-rousse soit hypnotisée par un écran d'ordinateur pendant quatre minutes ... ça prouve bien des choses.

Ça se trouve ICI

Merci Chantal

jeudi 7 octobre 2010

Avez-vous remarqué ?

Plusieurs penseurs, journalistes, éditorialistes, analystes et autres commentateurs québécois nous ont récemment parlé de leur malaise devant la demande du Maire Labeaume à Ottawa pour financer le prochain Colisée. Plusieurs ressentent une petite gêne à financer le domicile d'une équipe professionnelle de sport avec l'argent des contribuables payeurs d'impôts.

Mais étrangement, aucun de ces beaux penseurs n'a exprimé le moindre malaise quand Jean Charest s'est littéralement garroché pour offrir le même montant ($175 millions) pour le prochain Colisée. Pourtant, ne s'agit-il pas encore de l'argent des contribuables ?

Deux poids deux mesures messieurs les commentateurs ?

mardi 5 octobre 2010

Incroyable !

C'est pas des blagues ! CHAQUE wagon de métro commandé à Bombardier-Alstom coûtera la modique somme de $2.6 millions !

Hey ! C'est $2.6 millions pour une cage en métal avec des bancs et une dizaine (???) de pneus. J'en suis abasourdi. Ça veut dire que la rame qui entre dans la station à toutes les 5 minutes coûte dans son ensemble quelque chose comme $25 millions. Tabouaire ! Ya quelque chose que je ne comprends pas quelque part. Y a-t-il des gens de La Pocatière qui pourraient me déniaiser ?

Mettons, pour le comparatif, que je me paie un bateau de $2.6 millions pour aller voguer dans le golfe et en haute mer. Ça va être tout un bateau, non ? Comparé au wagon de métro, j'arrive toujours pas à comprendre ...

Se mobiliser ...

La Marche Bleue et le Retour de Jeff Fillion en ondes : telles sont les deux grandes causes qui ont fait sortir les gens du gros Village dans la rue depuis une dizaine d'années. Quand une bande de fonctionnaires se fâchent, ça déménage ! Pour les causes sociales, hé bien, on repassera. Et toute cette belle gang votera encore pour le Reform Party de mister Harper, bien sûr. Édifiant !