samedi 9 novembre 2013

Prédiction


Les élections fédérales, c’est prévu dans … deux ans. J’aimerais vous faire valoir mon pif en vous prédisant quelque chose …

Je vous prédis la déconfiture totale du Parti Libéral du Canada en raison de l’insipidité du jeune homme qu’ils ont élu comme chef. Vous le savez, il se nomme Justin Trudeau.

Disons-le tout de suite, le jeune homme n’a pas le quart de l’intelligence qu’avait son père. Je reconnais que le politicien que j’ai le plus détesté dans ma vie était mauditement brillant. Ce PET était malheureusement … de l’autre bord.

Mais son fils Justin … hou la la … Pas un crétin, loin de là, mais vraiment pas impressionnant. Beau bonhomme (ça aide … mais pas tant que ça), du verbe (mais pas tant que ça non plus) et … rien d’autre, me semble-t-il. Et le jeune homme est enclin à réagir un peu vite à l’actualité, ce qui doit stresser grandement ses conseillers. Comme récemment, cette sortie pour admirer la dictature en Chine. Ouf ! Et sa précédente sortie pour appuyer la légalisation du cannabis …

OK ! C’est une qualité d’être franc et sincère. Mais en politique, avant d’offrir son intimité et sa pensée dans l’enceinte médiatique, faut aussi penser à l’équipe que tu représentes et aux électeurs que tu veux conforter. Le Justin en question est tellement certain de sa vision …

Vous êtes sûrement d’accord que la politique d’ici est souffrante du manque de … grands hommes ou grands leaders depuis une vingtaine d’années, que ce soit au fédéral ou au provincial. Sérieusement, pensez-vous que ce jeune baveux de Justin se démarquera autrement que par son look ? Qu’il aura quelque chose de solide, différent, original et convaincant à nous proposer pour changer et améliorer ce pays ?

Les sondages indiquent une remontée des libéraux depuis l’accession du fils de PET à la tête des libéraux. Mais, attendez que la partie devienne sérieuse et que le jeune blanc bec soit sollicité régulièrement devant les micros et caméras. Positionner son parti adéquatement dans les dossiers sulfureux, répliquer ‘’en direct’’ aux objections des journalistes chevronnés, dégager une vraie connaissance des multiples dossiers et surtout, se distancer de l’image du beau boy qui l’a amené où il est aujourd’hui. ‘’OK les amis, je suis cute, je suis le fils de PET, mais, croyez-moi, je peux diriger notre pays beaucoup plus efficacement que Stephen Harper’’.

Les libéraux vont devoir miser sur la frime aux prochaines élections. Z’avaient-ils le choix lorsqu’ils ont élu Justin (djossstinn à l’anglaise) ? Martin Cauchon, Deborah Coyne, Martha Hall, Joyce Murray et Karen McCrimmon se voulaient les autres choix pour succéder à … Michael Ignatieff (je retiens volontairement un gigantesque éclat de rire …). La jeune vedette a remporté la partie au premier tour avec 80% des voix. Une chance que Stéphane Dion n’était pas sur les rangs ! (nouvel éclat de rire !).

Mais bon. Cessons de rigoler. Je reviens au titre de mon billet : prédiction ! Malgré l’entourage d’une équipe de conseillers expérimentés et professionnels, malgré la piètre (?!?) performance et la longévité du pouvoir de Harper et ses bleus, je suis persuadé que ti-cul Trudeau va s’enfarger à répétition et amener son parti directement … dans le mur. Hey, franchement, verriez-vous ce clown-playboy nous représenter dans une réunion du G8 ou ailleurs sur la planète ? Ô Canada ! Je suis persuadé que nos voisins hors Québec vont détecter la frime Djossstinn et son impertinence …

Et je termine ma montée de lait en vous disant … oui, oui, je sais : mais à qui confier le pouvoir ? Le redonner à Harper ? Le confier à Mulcair ?

Voici ma réponse franche et honnête : je m’en contresaintciboirise ! Et je vous prie de m’en excuser … J

3 commentaires:

Zoreilles a dit…

Je pense que plus Trudeau sera mal aimé au Québec, plus il gagnera des points dans le reste du Canada.

Mais comme toi, je m'en contresaintciboirise and a half!

crocomickey a dit…

Bon angle de vue ...

Barbe blanche a dit…

Les Kennediennes, on s'en contresaintciboirise...
ouin, on ne s'en ai pas encore débarrassé.
BOF, qu'ils aillent se faire pendre.