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jeudi 16 septembre 2010
Cassel-Mesrine
Vincent Cassel peut être classé parmi les grands acteurs. Je l’avais remarqué tôt dans sa carrière dans le film La Haîne (Mathieu Kassovitz 1995) où, justement, la haîne se voulait omniprésente et la violence poussée à l’extrême. Plus tard, en 2002, je le remarque aussi dans le film Irréversible de Gaspar Noé qui avait cette particularité d’être monté en ordre antéchronologique. L’histoire du viol sordide de sa femme (Monica Bellucci – sa vraie femme dans la vraie vie) était montré en commençant par la fin de l’histoire pour se terminer avec le début. Film étrange et, encore une fois, très violent.
La violence est toujours présente dans ces deux films consacrés au gangster Jacques Mesrine. Vincent Cassel est évidemment omniprésent mais il a l’ampleur pour tenir la barre, ce qui n’est pas une mince tâche.
Gros budget pour ce film, la qualité des images en témoigne. Se succèdent des scènes de crimes, des scènes d’amitiés fortes, des scènes poignantes d’humanisme (oui, oui) et finalement, l’exhibition du côté mégalomane de Mesrine dans les dernières années de sa vie, à partir du jour où il fut désigné Ennemi public numéro 1 en France.
Sympathique aussi, ce séjour au Québec dans le premier film. On y relate les faits d’armes avec un bandit local (Jean-Paul Mercier) interprété par notre Roy Dupuis national. Étonnantes ces révélations sur le Centre de détention maximum très dur pour les prisonniers, centre qui fut d’ailleurs fermé après l’évasion de Mesrine et Mercier qui avaient fortement dénoncés les conditions qui y prévalaient. Incursion historique rythmée et divertissante
Pour les fans (et il y en a !), le gros Gérard Depardieu incarne le premier patron mafieux de Mesrine. Égal à lui-même le Gérard. Et ce Gérard Lanvin à la toute fin : très sympa.
Bref, pour ceux et celles qui se déplaceront au cinéma ou les autres qui attendront les sorties vidéo, un film violent certes, mais rythmé, sans longueur et parsemé d’instants très émotifs fort bien joués par Vincent Cassel. On y croit !
Vous apposerez votre propre note sur 10.
mardi 14 septembre 2010
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lundi 30 août 2010
dimanche 29 août 2010
Claude
C’est ma fille et je l’aime. Pas mieux ni moins que le commun des pères. Mais je l’aime. Avec ce prénom que nous avions choisi et qui l’a souvent indisposée dans sa jeunesse scolaire, mais qui sonne toujours musical et sublime dans mes oreilles et … dans les siennes depuis qu’elle est entrée dans sa vie à elle …
Ma belle Claude a tourné la trentaine en janvier dernier. Autonome et très bien dans sa peau, elle n’a toutefois pas (encore) trouvé LE mec qui va transcender vraiment son existence. Quelques ébauches oui, sérieuses oui, mais non concluantes et finalement, brisées avec cicatrices. Pas de malheur persistant mais déceptions ou peines à … faire avec.
Dans ce brouhaha d’émotions, le paternel que je suis n’est jamais intervenu de quelque façon que ce soit. Ma seule inquiétude se résumait à l’envie inassouvie de ma belle Claude d’être … mère un jour. Quelque chose dans ses gênes, comme une évidence tellement … évidente. Ce « naturel » pour envelopper les mômes des autres et cette aisance pour entrer dans leur univers. Comme une aura débordante …
Vendredi soir. Bonne bouffe avec Claude dans un resto vietnamien. Placotage tellement réjouissant et bienfaisant pour le paternel. Je flotte littéralement. Et, au détour de je ne sais plus quelle follerie, ma merveilleuse fille devient soudainement sérieuse et m’apprend qu’à la mi-septembre, elle amorce un processus qui la conduira à devenir maman … par insémination …
Plus de temps à perdre. Plus de mec à séduire, à endurer et à convaincre. Simplement ce besoin et cette nécessité d’être une maman et donner un sens essentiel à son séjour sur terre. J’ai remarqué ce souffle de bonheur qui enveloppait ma fille en me dévoilant son projet de vie.
Vendredi soir, me suis endormi avec un sourire béat…ifiant.
Claude … je t’aime tellement …