Mais non, je ne vous ramènerai pas dans votre petite enfance. Le Petit Poucet, c’est un resto cinquantenaire très populaire dans les Laurentides, tout près de Val-David sur la 117. Une place principalement reconnue pour ses déjeûners, ses crêpes, ses tartes au sucre ou à l’érable et son fameux jambon fumé au bois d’érable. La place a flambé ya plus d’un an et reconstruite. Moi je n’y étais pas allé depuis une bonne dizaine d’années.
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Alors voilà le secret que j’y ai découvert. Il s’agit simplement d’une entrée : trois tranches du fameux jambon qui enroulent trois belles asperges, le tout déposé sur une mare de fromage suisse fondu. Me suis sustenté en frôlant le nirvana. Et ça ne coûte que $5.35 … Rapport qualité/prix difficile à battre. À bons entendeurs …
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Alors voilà le secret que j’y ai découvert. Il s’agit simplement d’une entrée : trois tranches du fameux jambon qui enroulent trois belles asperges, le tout déposé sur une mare de fromage suisse fondu. Me suis sustenté en frôlant le nirvana. Et ça ne coûte que $5.35 … Rapport qualité/prix difficile à battre. À bons entendeurs …
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Dernière heure : je viens tout juste de déguster cette Cipaille que j'avais rapportée du Petit Poucet. Quinze minutes dans le four à 350 degrés. Mmmmmm ! Divin ! Les ingrédients ? Cerf, caribou, bison, sanglier, boeuf, porc, poulet, oignons, pommes de terre, beurre, vin rouge ...). Le tout pour la modique somme de $6.50 ...
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Qui plus est, j'apprends à l'instant que madame la Rousse n'aime pas la viande sauvage et que la deuxième petite cipaille trouvera elle aussi, dans les jours qui viennent, le sentier de l'oesophage du blogueur. Ya des journées comme ça ...
7 commentaires:
Tsé si tu changes d'idée pis que tu veux pu manger la cipaille... J'suis pas ben loin :-P
Noté pour l'adresse! Merci beaucoup m'sieur
Je pense vraiment pas changer d'idée Drew. Désolé !
Quand je bouffais de la viande, c'était la sauvage que je préférais avant tout... Et comme je ne suis pas végétarienne par choix (en fait, je mange toujours du poisson, mais ni viande rouge ni volaille), la cipaille que tu as décrite me met l'eau à la bouche. Me souviens que ma grand-mère de souche algonquine en préparait avec du lièvre, du caribou, de l'ail des bois, des pommes de terre, du beurre et, tiens-toi bien, du cognac... Un délice, mon vieux, je t'en passe tout un papier! ;)
Celles que tu t'es procurées chez le Petit Poucet semblent réellement authentiques et quelle chance tu as de pouvoir en déguster deux ! Avec un bon p'tit coup de rouge (c'est bon pour le coeur, dit-on), pour accompagner cette douceur divine, l'expérience de ton oesophage sera quasi orgasmique ! ;)
C'est quasiment sexuel ton affaire !!! :-)
Il me semble que Le Petit Poucet a toujours fait partie du paysage, sur la 117. On y arrêtait souvent dans le temps, de beaux souvenirs... Quand je suis pas trop pressée, j'aime mieux prendre la 117 que la 15. Maintenant, je penserai à toi quand j'y arrêterai de nouveau. C'est comme ce dîner qu'on a partagé aux Iles. Pour moi, Château Madelinot = Croco!
Cuisines-tu un peu, toi? Il me semble que t'aurais plein d'idées...
En tout cas, tu ferais un bon critique culinaire mais il faudrait que tu te tiennes loin des grandes arcades jaunes en forme de M.
Non ! Pas très cuistot le croco. En fait, j'ai deux recettes que je réalise avec perfection et qui ont ma touche perso :
1- Le carbonara authentique
2- Un rizotto assez réussi
Pour le reste, je me fies au talent ... des autres.
Mes affaires sont quasiment TOUTES sexuelles, Croco ! ;)
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