Depuis hier (et même avant), tout le monde en parle de … Maxime Bernier. Je ne vous parlerai pas des Jo-Louis, ni de la poitrine de sa poupoune, ni de ces documents troublants laissés chez cette dernière.
Non. Je vous parlerai plutôt de deux petites anecdotes qui viennent démontrer l’arrogance de ce pédant jeune économiste.
Dernièrement, en privé avec un journaliste qui lui parle de ses déboires, Maxime Bernier interrompt la conversation, prend son cellulaire, signale et, une fois la communication obtenue, souhaite bon anniversaire à son interlocuteur. Une fois le cellulaire raccroché, il informe le journaliste qu’il vient de souhaiter bonne fête à son chum PKP, le président de Québécor. Le sourire du journaliste qui racontait l’anecdote en disait long.
L’autre anecdote provient de Denis Lessard, le vétéran chroniqueur de la Presse sur la colline parlementaire à Québec. Dans une autre (récente !!!) vie, Maxime Bernier travaillait dans le cabinet du très souverainiste Bernard Landry (méchant vire-capot le Maxime comme un certain Jean Lapierre). Lors d’un voyage Québec-Montréal en autobus, il parlait extrêmement fort dans son cellulaire (encore) avec des phrases indiquant clairement à l’entourage immédiat qu’il était pesant au ministère des Finances. Le problème, c’est qu’un de ses patrons était assis quelques sièges derrière lui.
Comment on appelle ça ? Une petite frappe ? Une tête enflée ? La grenouille dans la fable ?
Pas fort le Max !
Non. Je vous parlerai plutôt de deux petites anecdotes qui viennent démontrer l’arrogance de ce pédant jeune économiste.
Dernièrement, en privé avec un journaliste qui lui parle de ses déboires, Maxime Bernier interrompt la conversation, prend son cellulaire, signale et, une fois la communication obtenue, souhaite bon anniversaire à son interlocuteur. Une fois le cellulaire raccroché, il informe le journaliste qu’il vient de souhaiter bonne fête à son chum PKP, le président de Québécor. Le sourire du journaliste qui racontait l’anecdote en disait long.
L’autre anecdote provient de Denis Lessard, le vétéran chroniqueur de la Presse sur la colline parlementaire à Québec. Dans une autre (récente !!!) vie, Maxime Bernier travaillait dans le cabinet du très souverainiste Bernard Landry (méchant vire-capot le Maxime comme un certain Jean Lapierre). Lors d’un voyage Québec-Montréal en autobus, il parlait extrêmement fort dans son cellulaire (encore) avec des phrases indiquant clairement à l’entourage immédiat qu’il était pesant au ministère des Finances. Le problème, c’est qu’un de ses patrons était assis quelques sièges derrière lui.
Comment on appelle ça ? Une petite frappe ? Une tête enflée ? La grenouille dans la fable ?
Pas fort le Max !
4 commentaires:
Croco,
nous vivons dans une société où tant de gens se croient irremplaçables ( pesants, pour utiliser ton mot ), alors il ne faut s'étonner de rien.
Ça me fait sourire ( jaune ) quand je pense que dans cent ans, aucun de nous sur la planète, ou presque, ne sera vivant.
La fatuité humaine n'a pas de limites, mais je suis une vielle désabusée...
En espérant qu'il saura retirer un peu d'humilité de ce qui lui arrive présentement ;-)
J'en doute fort. Max et l'humilité. Peut-être aura-t-il appris qu'il faut être plus ratoureux en politique ...
Toute cette saga Bernier/Couillard/Harper ne va pas me réconcilier avec le monde de la politique et des médias!
Et plus les journalistes fouillent, plus les coulisses apparaissent cruellement infestées de saletés.
Le coeur me lève.
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