mercredi 13 mai 2009

Il joue de la guitar ...

... mais ce n'est pas Jean Leloup.

Le type se nomme Stanley Jordan et il vous interprète ICI la chanson "Les feuilles mortes" à la Gershwin avec deux guitares. Sidérés vous serez. Ici le mot prodige prend toute sa valeur. C'est comme atteindre l'impossible. Vraiment ...

Merci Denis

11 commentaires:

Zoreilles a dit…

Un homme orchestre, ce Jordan!

Barbe blanche a dit…

une guitare c'est bien, deux c'est tu mieux?
En tout cas,c'a occupe son homme.

Michel a dit…

Fastoche, y fait du play black ça se voit comme l'église au milieu du village.
Ce chien malade m'a dégoûté de mon instrument préféré.
Dieu soit loué, il n'a que deux mains...
Faut aussi écouter "Stairway to Heaven".

crocomickey a dit…

Chien malade ? Je saisis pas la nuance ...

Anonyme a dit…

Hexagonal Michel voulait sans doute parler du clip précédent, que j'ai été incapable de regarder jusqu'à la fin, ayant abandonné à mi-chemin. La torture, même fictive...

Des goûts et des couleurs...

Rosette ou Rosie, c'est pareil a dit…

Époustouflant, ce Jordan !

Michel a dit…

"Chien malade" c'est l'expression de mon ADMIRATION pour ce MEC là...

Bien évidemment je continuerai à exercer mon immense talent de guitariste solitaire et solidaire de moi même, compte tenu d'un égo démesuré. Y'a pas de mal à s'faire du bien !

C'est vrai que le clip passe super bien ou super mal. Dans ce dernier cas c'est carrément le supplice !

Anonyme a dit…

@ Michel,

j'avais donc fait de la présomption. Shame on me!

Michel a dit…

@ Lise

No Shame on you Lise, faut toujours dire c'qu'on pense, les goûts et les couleurs ça se discute pas, c'est pas un souci.
Et j'adore quand vous montez au créneau avec cette franchise et ce parler-vrai qui vous caractérise.
Don't change anything !

Anonyme a dit…

@Michel

oh oui j'ai énormément de choses à changer! Si vous saviez à quel point mon émotivité maudite m'a nui, toute ma vie, et a fait fuir des gens qui m'étaient chers. Ce qui est toujours le cas d'ailleurs.

Il y a déjà presque deux ans que Croco supporte mes commentaires sur son blogue (mais je le lisais sur Planète Québec depuis bien plus longtemps, me contentant d'écrire un courriel de temps à autres, ce à quoi j'aurais dû m'en tenir), certains vraiment que j'aurais dû m'abstenir d'écrire.

Et j'ai été très mal reçue sur un blogue, à peine deux mois après avoir découvert leur existence, par une personne qui n'allait pas bien à l'époque (pour dire le moins) et qui m'a accueillie avec une brique et un fanal (expression québécoise signifiant TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS TRÈS mal), alors qu'elle avait la modération des commentaires (une forme de censure Blogger) et aurait pu ignorer ledit commentaire. Au contraire, il a été mis en vedette, d'une manière que je n'aurais jamais imaginé.

Si Croco ne m'avait pas encouragé à ce moment-là, j'ignore ce qui serait arrivé, car j'en avais été malade, littéralement.

Aujourd'hui, je n'en veux plus à cette personne, au contraire. Tout va bien pour elle, et c'est tant mieux. Mais cet épisode m'a fait comprendre que l'on ne devrait pas se servir d'un blogue en guise de thérapie, car on risque de blesser des gens allant aussi mal que soi-même. C'est pourquoi je n'en ai toujours pas!

Je vais prendre les moyens de m'aider, mais hors blogue, afin de ne nuire à personne.

Et Croco sait à quel point je l'apprécie, ce qui est sans doute la raison de son infinie patience, non méritée, à mon égard. Son côté délinquant ( que j'ai toujours aimé) ne l'empêche pas d'avoir un grand coeur sensible.

Bon, je ne pouvais pas vous dire tout ça hors d'ici, car je ne suis pas sur MSN (où j'aurais pu l'écrire en privé), ni sur Facebook, alors...

Michel a dit…

@ Lise
Chaque humain a son "feeling"
On peut parler de tout, tout dire.
Ne pas regretter ce que l'on a dit, ne pas se dévaloriser, mais avancer.
Toute opinion a son importance, la diversité c'est la vie.
Je ne pense pas que vous puissiez nuire à qui que ce soit par vos commentaires.
Je sais que l'on vous apprécie sur les blogues que je fréquente depuis peu.
Il faut persévérer dans l'émotivité positive.