Je demeure dans le comté de Gouin. En 1970, à sa première élection, le Parti Québécois n’avait fait élire que 8 députés dont Guy Joron dans le comté de … Gouin. Depuis, aucun intrus politique n'a su y déloger la bande à René. Une séquence de pas moins de 36 années sans qu’un libéral ne vienne y laisser son empreinte rouge. Sur l’île de Montréal, faut le faire.
Mais cette fois-ci, j’ai pris ma décision et je ne voterai pas PQ. Libéral alors ? Plutôt mourir. Pour Mario Le Pen penserez-vous ? Vous faites donc dans l’ironie.
Non, cette fois-ci, je voterai pour la belle Françoise. Mais oui, madame David a choisi Gouin pour sa première incursion sur l’arène provinciale. Difficile d’être contre les revendications qu’elle porte à bout de bras depuis tant d’années. Et le réflexe d’ignorer Québec Solidaire parce qu’il ne gagnera jamais me fait penser à ce qu’on disait du PQ en … 1970.
Juste un pépin avec la belle Françoise. Faudrait qu’elle bâillonne Amir Khadir, le prétentieux candidat dans le Plateau (Mercier) qui a la fâcheuse habitude de claironner des conneries, particulièrement lorsqu’il parle d’économie. Un vrai furoncle.
dimanche 25 février 2007
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