La journée était presque parfaite. Ciel bleu parsemé de dessins blancs, soleil confortable de fin d’été, le va-et-vient désinvolte des promeneurs du dimanche sur et autour de la place Gérald-Godin. Puis, les poètes sont arrivés pour distribuer aux premiers spectateurs un feuillet dévoilant les mots de ce manifeste qu’ils allaient nous réciter. Au même moment s’approchaient solennellement ceux et celles qui transportaient la grande banderole du titre : RÉSISTER OU DISPARAÎTRE.
Depuis plusieurs années, l’alerte est lancée : notre terre souffre. Elle souffre de divers maux et les médias nous abreuvent d’informations, de constats, de statistiques plus décourageantes les unes que les autres, pendant que les grands de ce monde s’obstinent pour accoucher de textes froids sur les efforts à consentir pour sauver la planète. La langue de bois, comme ils disent parfois …
Les poètes utilisent aussi les mots, leur matériel de base. Mais leurs mots ne sont pas les mêmes. Des mots issus d’un imaginaire moins statique et davantage branchés sur l’âme et le cœur, sur la générosité et le souci des autres. Des mots qui allument une petite flamme dans notre conscience de terrien menacé, en nous faisant penser aux autres avant tout.
Les poètes Paul Chamberland, José Acquelin, Joel Pourbaix et l’artiste visuel Michel Depatie ont livré chacun leur tour une portion de ce texte engageant dont vous pourrez prendre connaissance sur ce lien ICI
Pour compléter leur action poétique, les artistes ont déclamé d’autres courts textes plus personnels qui ont entraîné les applaudissements de ce public attentif. Régnait alors un calme bienfaisant sur la place Gérald-Godin, un autre poète qui aurait bien complété ce quatuor…
Pour la finale, les spectateurs se sont vu remettre une belle feuille en papier parchemin. Une feuille vierge pour qu’ils puissent, chacun à leur façon, y déposer leurs propres mots qui seront intégrés à cette manifestation poétique.
Et vous lecteurs inspirés, allez-y de votre coup de cœur en expédiant vos témoignages sur le site web. Une façon d’y mettre votre grain de sel.
Depuis plusieurs années, l’alerte est lancée : notre terre souffre. Elle souffre de divers maux et les médias nous abreuvent d’informations, de constats, de statistiques plus décourageantes les unes que les autres, pendant que les grands de ce monde s’obstinent pour accoucher de textes froids sur les efforts à consentir pour sauver la planète. La langue de bois, comme ils disent parfois …
Les poètes utilisent aussi les mots, leur matériel de base. Mais leurs mots ne sont pas les mêmes. Des mots issus d’un imaginaire moins statique et davantage branchés sur l’âme et le cœur, sur la générosité et le souci des autres. Des mots qui allument une petite flamme dans notre conscience de terrien menacé, en nous faisant penser aux autres avant tout.
Les poètes Paul Chamberland, José Acquelin, Joel Pourbaix et l’artiste visuel Michel Depatie ont livré chacun leur tour une portion de ce texte engageant dont vous pourrez prendre connaissance sur ce lien ICI
Pour compléter leur action poétique, les artistes ont déclamé d’autres courts textes plus personnels qui ont entraîné les applaudissements de ce public attentif. Régnait alors un calme bienfaisant sur la place Gérald-Godin, un autre poète qui aurait bien complété ce quatuor…
Pour la finale, les spectateurs se sont vu remettre une belle feuille en papier parchemin. Une feuille vierge pour qu’ils puissent, chacun à leur façon, y déposer leurs propres mots qui seront intégrés à cette manifestation poétique.
Et vous lecteurs inspirés, allez-y de votre coup de cœur en expédiant vos témoignages sur le site web. Une façon d’y mettre votre grain de sel.
Et maintenant quoi ?
Manifeste-toi ! Parle, écris, écoute, offre.
4 commentaires:
Le site Web en question ne permet pas de se manifester... Du moins, c'est ce que j'ai cru comprendre. Cependant, le site est merveilleusement bien conçu et porte effectivement à réflexion. Merci, Mickey, de nous l'avoir fait connaître ! :-)
Ya un courriel et ils vont retravailler le site avec les mots reçus....
J'irai aussi le consulter ce site que tu nous fais connaître et qui est un prolongement de l'événement.
Nul ne saurait mésestimer le fabuleux pouvoir des mots, ça, les poètes l'ont compris.
D'accord Mickey.. J'irais revisiter le site plus tard.
@ Zoreilles : ton dernier paragraphe est en plein dans le mille ! :-)
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