Suivez les lignes ...

Choqués ! Choqués !

Les pêcheurs de homards des Iles-de-la-Madeleine ont mis sur pied, il y a une dizaine d'années, des mesures de protection (comme les quotas) pour protéger l'espèce. À l'Ile-du-Prince-Édouard, tout à côté, ils n'ont rien fait et pêché à outrance. Leurs stocks de homards sont en danger. Ils vont donc commencer à prendre des mesures pour protéger l'espèce. Ler gouvernement de ce cher Harper va les aider avec de larges subventions. Les pêcheurs québécois, qui n'ont jamais eu cette aide malgré leurs demandes répétées, sont en ... kliss.

Ils ont donc voulu le faire savoir clairement aux politiciens et décideurs fédéraux en bloquant l'accès du bureau de Pêches et Océans Canada avec plusieurs dizaines de cages à homards en pleine heure de pointe dans le centre de Cap-aux-Meules. Ils ont été remarqués ... Pour un court instant, Croco s'est senti reporter comme ... sa soeur.

Les vedettes à Grande-Entrée

Bande de voyeurs et voyeuses. Je savais que vous n'attendiez que ces photos du tournage de La Petite Séduction ...

Lundi dernier. Temps de chien. Fait frette et les gouttelettes de pluie n'empêchent pas les organisateurs de monter les présentoirs de leur Marché des Saveurs entre deux rangées de bateaux sur le quai de Grande-Entrée. En jasant avec l'équipe de RadioCan, j'apprends que l'accueil de la veille, en pleine mer, avec 22 bateaux disposés en entonnoir, a fortement ému non seulement Dany Turcotte et son invitée Marie-Josée Taillefer, mais aussi les techniciens et les gens de la réalisation.

Bon, j'arrête de vous faire languir.

Voici donc les trois images que je vous rapporte :

Voilà l'animateur et son invitée qui approchent du Marché des Saveurs.

Ils sont tout près ...

Avouez qu'elle est belle la Marie-Josée.

Sur ces primeurs (l'émission sera diffusée le 22 juillet), je vous confie que vous verrez peut-être le blogueur à l'écran (s'il n'est pas coupé au montage). Il sera facile à reconnaître : lors de l'arrivée des vedettes au Marché des Saveurs, j'étais placé au début de la foule d'accueil avec mon appareil (les photos le démontrent ...) et j'étais klissement mal fagoté puisque j'étais couvert d'un imperméable ultra-cheap (une piasse chez Dollorama ...) en plastique vert-caca-d'oie ...

Un héron errant

Moi j’aime vraiment les hérons. Ils me font vibrer par leur élégance inégalable. Mais ils sont farouches. Difficiles d’approche. Ça prend définitivement une lentille d’approche (genre 300 mm) pour aller chercher du détail dans cette grâce déployée hors des sentiers battus.

J’ai quelques réussites à mon bilan de photographe amateur, images qui n’ont rien à voir avec les professionnels de la chose qui ont le temps, les connaissances et le fric pour aller figer la gestuelle du grand volatile. L’été dernier, en revenant des îles, je vous ai fièrement présenté deux belles images que j’avais récoltées dans une aire protégée de l’Étang-du-Nord. Ce héron, au repos puis en plein vol, je le trouvais magique. C’était ICI.

Cette année, ya 4 ou 5 jours, nous décidons de prendre une route secondaire en sortant du village de Grosse-Ile. Un chemin qui longe une lagune calme bordée de grands herbages. Et soudain, la blonde-rousse l’aperçoit la première. Elle ralentit (c’est toujours elle qui conduit). Je débarque du véhicule en douce, m’approche de la berge et règle la focale du zoom sur le prince. Clic !

Je suis légèrement camouflé par les herbages. Je pousse un petit cri : Hou ! Le héron s’envole. Me faut le suivre mais, avec une 300 mm, c’est pas évident de cadrer. À tout le moins plus difficile qu’avec une lentille normale de 55 mm qui ratisse LARGE. Sans oublier l’ajustement de la mise au point (le focus comme ils disent). Alors je vous offre ces deux images en plein vol (le clic est un must pour les détails). Mais oui ya d’la chance, mais c’est MA chance. Remarquez le « velouté » de l’eau en arrière-plan. On dirait de la glace …

Et pour la finale, l’atterrissage 100 mètres plus loin. Remarquez la délicatesse dans les pattes. Merci bel oiseau !

Chose promise ...

Je vous ai glissé quelques mots sur ce dépanneur que je qualifierais de "plus dékrissé" du Québec. Sur le chemin principal de Grande-Entrée, le village limitrophe au nord des Iles, le plus gros "port à homards" en Amérique, la blonde-rousse cherche les dépanneurs du "fin fond", croyant que ça lui portera chance avec les loteries de Loto-Québec.

Arrive cette image d'une autre époque (détails dans le clic). Je n'en crois pas mes yeux. La girouette sur le toît est fort coquette, je le reconnais. Mais le reste ... Viaaarge ! La blonde-rousse s'est empressée d'aller y voir pour ses billets. Un octogénaire gentil avec un fort accent du coin l'informe que ... malheureusement ... pas de Loto. De la bière, des cigarettes et des chips ornent les étagères, m'a-t-elle avoué en revenant au véhicule. Photo obligatoire ...

J'ai appris le lendemain que la place est très fréquentée le soir par la jeunesse du coin. La gang s'y retrouve, en dedans comme en dehors. C'est le spot comme on dit ...

Décollage réussi !

L'archi-connu "Home sweet Home" décalé de 24 heures. J'ai beau vous dire ma satisfaction d'avoir passé une journée de plus au milieu du Golfe Saint-Laurent, il n'en reste pas moins que cette addition comprend aussi cinq heures d'attente dans cet aéroport minimaliste, puis l'attente d'un téléphone qui ne viendra que le lendemain matin ...

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Néanmoins, en début de cette dernière soirée "forcée", une belle découverte aux limites de Fatima et de l'Étang-du-Nord : au bout d'un petit chemin secondaire, un cul-de-sac qui nous offre cette image apaisante ayant le double-effet de vous prouver que les îles peuvent être sublimes, même dans la brume ...

Bon !

Paraît qu'on part ce midi dans l'avion qui arrive de Mourial. Va-t-il réussir à atterrir ? Ya presque pas de brume aujourd'hui. Je devrais plutôt dire : ya pas de brume PRÉSENTEMENT car, comme le dit mon beau-frère Lester ... dans les iles, attends une demi-heure pour être sûr de la météo. Alors croisez les doigts pour moi et la blonde-rousse (qui commence à taper du pied légèrement.

Dans la brume

L'avion qui devait nous ramener à Mourial n'a même pas pu atterrir aux Iles because la brume et ce, malgré trois tentatives. Reporté à demain aprem. Bistro italien ce soir avec pâtes et homard ! Maudite vie platttttte !

Dernières heures

Plus qu'une journée dans le paradis. Le bon Dieu nous expulse demain en aprem.

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Toujours cette brume qui part et qui revient. C'est l'extrême entre la mer froide et l'air chaud qui cause ces bizarreries. Comme l'inverse à l'automne.

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Du homard encore hier soir. Bien digéré. Et ce soir, les pétoncles à la Pol Chantraine (un poète des Iles qui savait cuisiner) que ma soeur va nous préparer.

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Des photos tripantes à vous montrer. Notamment ce dépanneur de Grande Entrée tout dékalissé. Incroyable. Et ce héron planant sur la lagune à Grosse-Ile. Et le jeune canneton (deux jours) dans les mains de la blonde-rousse. Et ...

Yé

Belle température revenue avec la Saint-Jean.

Belle Dune-Sud lovée dans une brume temporaire ...

Belle-Anse pour le coucher du Soleil ...

Belle vie quoi !

Éole omniprésent

Toujours pas de soleil mais pas de pluie. Un peu moins frette. Mais toujours le vent. On se décourage pas. Hier soir, les sushis homard et crabe de la Poissonnerie des Iles étaient ... divins, juste avant les homards ...

Un peu de soleil annoncé pour la fin de la semaine. Bienvenue !!!

Vagues et Vents

Galarneau a foutu le camp à Montréal paraît-il. Fait frette et il vente à écorner vous savez quoi. Dea vagues grosses de même, je vous dis. Les ballades sur la plage ne sont pas recommandées. Pas grave, ya du homard au menu ce soir ...

J'ai vu Danny et Marie-Josée Taillefer ce matin à Grande-Entrée. Photo gros plan du magnifique sourire de la madame à vous montrer ...

Cou donc, Zoreilles. Wille Lebel de Bassin, parent oui ou non ?

Messi ...

Quel départ !

Première soirée magique après un court vol sans anicroche de 2 heures 18 minutes.

Entrée de bruschetta de ma soeur Line.

Les moules de son chum Lester couvertes de parmesan et autres secrets.

Deux homards des Iles bouillis dans l'eau de mer.

Plus de place pour le dessert et les fromages.

Dodo bienvenu à ... 21 heures 30. Dormir à poings fermés.

Éveil à 6 heures (même la blonde-rousse, c'est ben pour dire).

Soleil toute cette journée de dimanche et le ciel se couvre juste comme on revient à la maison.

Mettons que ... c'est bien parti !

Décompression

Je ne me considère pas comme une personne particulièrement stressée. Toutefois je sais fort bien que lorsque je me réfugie aux Iles-de-la-Madeleine, je décompresse fortement. Cpmment décompresser quand on a pas de pression ? Le sais pas et veux pas le savoir. C’est comme ça. Point.

Alors, oui, j’en suis à ma dernière journée à Montréal-ma-Belle. L’avion demain à 10hrs et atterrissage à Havre-aux-Maisons à 14h 05 (ces détails sont pour mon amie Zoreilles :-)).

Je vous promets quelques mots lorsque je passerai au bistro des Pas Perdus ou quand je passerai en coup de vent chez ma sœur Line. Mais pas de photo avant mon retour because c’est trop compliqué pour l’ordinausore que je suis.

Pendant mon séjour au milieu du Golfe Saint-Laurent, nous vivrons tous le solstice d’été et cette fête si rassembleuse du 24 juin. Alors je termine ce dernier billet sur le continent en vous souhaitant d’avance à tous et toutes une TRÈS joyeuse et dansante Saint-Jean-Baptiste. Vive notre Québec Français ! Parce que c'est ça qu'on célèbre : les français d'Amérique.

Une vraie folle

Prénom = Geneviève.

Métier = scénariste

Dernière éructation = Il y a quatre Québec, le Plateau Mont-Royal, Montréal, la banlieue et la région.

J'aime les folles ...

Full papier

La Presse vient d’annoncer la disparition définitive de son édition du dimanche.

Deuil.

Ça fait plus de 35 années que je suis abonné à La Presse. 35 années qu’un ti-cul vient la déposer à ma porte. 35 années que je lis ses 5 ou 6 cahiers. 35 années que je me gave davantage de son édition du samedi. 35 années que je la … manipule, que me mains la saisissent et tournent ses pages.

Et je vais certes continuer à lire Ma Presse en papier (sauf le dimanche). Et cette coupure dominicale m’inquiète car elle est probablement annonciatrice de sombres moments dans l’industrie des imprimés.

La pression du web, bien sûr, se voit désignée en tout premier. Sa popularité exponentielle nuit – hors de tout doute – aux nouvelles imprimées. L’assiette publicitaire vient également se subdiviser davantage pour en accorder au web qui accroche lui aussi les yeux consommateurs. La direction de La Presse a d’ailleurs invoqué ces raisons très clairement.

Mais La Presse n’a pas touché son … Cyberpresse. Ce qui ne surprend guère. D’ailleurs, il y a quelques jours, j’ai reçu un appel du bureau des ventes me proposant La Presse intégrale sur le web, moyennant la somme ridicule de $2 par mois et ce, à titre d’abonné fidèle de la copie papier. J’ai refusé.

Les nouvelles à lire sur écran, c’est surtout pour le scoop, la nouvelle à la seconde où elle sort. Pas pour les détails et les analyses. Je préfère de beaucoup « tenir » la nouvelle dans mes mains que la scruter des yeux sur mon écran. Pour les images et le résumé, va pour la télé (et le web aussi, presque).

Mais pour le sérieux de la chose, la lecture sans le clic, pour le temps d’y goûter, de savourer une phrase joliment tournée, y revenir dans cinq minutes, de faire le mot croisé de Hannequart, d’encercler les huit erreurs dans les dessins (un stylo sur l’écran ?), rien ne bat ce cher papier qui finira dans le bac vert, déposé par le meilleur citoyen vert que je suis devenu, un peu beaucoup grâce à ce que j’y ai lu …

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Mais pour les blogues que j'aime, bien sûr, rien ne vaut ni n'égalera le web ...

La grande gueule

Combat de championnat vendredi soir au Centre Bell. Entre deux boxeurs d'ici. Adrian Diaconu, le champion originaire de Roumanie et Jean Pascal l'aspirant, type haitien.

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La grande gueule, c'est Pascal. Dans une pauvre imitation d'une icône du siècle dernier (Ali), Pascal fait le pitre et se moque du champion, lui offrant même une dent de requin (le surnom de Diaconu est Shark) comme introduction à toutes les dents qu'il va lui péter vendredi. Quel grand comique ! Et tout ça lancé en se dandinant sur l'estrade comme un rappeur américain.

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Très antipathique ce Jean Pascal. Il nous apprend même qu'il a complété ses Techniques Policières au collège Ahuntsic, en attendant d'aller les poursuivre à l'Institut Nicolet.

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Pour le plus grand bien de notre société, je lui souhaite de manger une kliss de volée vendredi soir. Comme ça, il pourra compléter plus vite ses études de flic et pourra par la suite aller faire ses Yo Man dans les rues de ... Montréal-Nord !

Histoires de cordes à linge

Tout d'abord ma voisine d'en bas. Jolie, la jeune quarantaine et célibataire. Mais aussi, une obsédée maniaque du lavage : mamzelle linge propre ! Elle rempli ses deux cordes à linge minimum trois fois par semaine. En grossissant l'image, vous pourrez y compter pas moins de ONZE bobettes. Et ce ne sont que les blanches ... Faut le faire !

Ma voisine d'à côté, pour sa part, me semble bizarre par les temps qui courent ... C'est tivident !

Du hockey en juin ?

Mais oui, ça existe ! Même que ce soir, les vétérans Red Wings vont affronter les Pingouins de Sidney le braillard dans LE match ultime de championnat. Ça fait quelque chose comme 16 années que Montréal n’a pas connu un match de hockey en juin. J’avais quasiment oublié !

Ce soir, le blogueur rejoint sa gang à la Brasserie Québécoise pour le couronnement.

Go Pingouins Go !

Prise en flagrant délire

Un potin judiciaire ... étonnant. Une infirmière du CHSLD Juif de Montréal s'injectait les doses de Dilaudid destinées à une patiente dont elle avait la charge. Elle remplaçait les doses avec de l'eau et s'injectait la vraie dope, laissant souffrir sa patiente. Un petit jeu qui a duré deux mois avant qu'on ne découvre le subterfuge. L'infirmière a écopé de deux ans de prison ferme.

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Non mais ça prend tu une krisse de folle !

Franchise

Hé oui ! Je vous le révèle : qu'est-ce qu'il a bu le conard ?

Exactement ... $2.40 en canettes vides.

Et là, il va aller se coucher et en dormir une réparatrice ...

Comme un air de cuite

Ce temps gris, cette humidité, ce "rien qui se passe", cette attente de kekchose ...

Me semble que c'est annonciateur d'une solide beuverie réparatrice pour remettre les compteurs à zéro et repartir la machine.

Vous en donne des nouvelles ...

Les primeurs !

Jeudi dernier, je vous parlais de cette émission télé de TQS qui vous prend pour des retardés congénitaux. Ça s'appelle Call-TV.

Ce matin, Hugo Dumas de La Presse vous en parle également après avoir fait sa petite enquête sur la légalité de la chose. Et tout le monde se renvoie la balle (CRTC. normes TV, Régie Alcool et Jeux, Loto-Québec, etc etc). Texte complet ICI

Mais, c'était le but de ce billet, vous l'aurez appris ici, avant les autres !

Yééééééééééééé !

Le blogueur est gonflé d'orgueuil ...

Truites et Pitreries

Hubert taquinant la truite dans le lac qu'il a lui-même creusé

avec ... les pitreries de Ginette en arrière plan

À Labelle ...

... l'éducation est encore une priorité !

Ben ordinaire ...

... pour les gens de Tremblant, semble-t-il. Mais pour le blogueur, voir un jeune chevreuil passer dans le stationnement, ça valait au moins une photo !

Le Nord

Départ dans une heure. Quelques journées chez Hubert et Ginette à Labelle, avec ma fille Claude et son excellent risotto qu’elle va nous concocter ce soir pour l’arroser avec un Pinot Noir La Crema, un américain délectable selon mon pote expert Dom Denys.

Bon et ensoleillé weekend à tous et toutes !

Connerie-TV

Je suis un téléphage. De la télé j’en ai vue en tab … ouaire. Aujourd’hui, je suis en mesure de vous dire que cette émission se veut la plus conne et débile que j’ai visionnée dans ma vie. Je lui accorde la palme de l’insignifiance. Quelque chose de rare. Et vous pourrez aller vérifier la pertinence de mon jugement.

Ça s’appelle Call-TV (merci à la Loi 101…) et ça se déroule sur l’écran de TQS (surpris ?) tous les jours (sauf le samedi) de 23 hr à 0hr 30. Et le tout en direct avec une animatrice (fort jolie au demeurant) qui elle, se trouve à Vienne en Autriche (fouille-moi pourquoi …) où il est 5 hr du matin le lendemain, décalage oblige.

Il s’agit d’un jeu où le spectateur québécois peut appeler pour répondre à une question, un calcul ou une énigme et recevoir une cagnotte d’argent (entre $150 et $1500 environ). Des questions simples de niveau 4ième année primaire. Avec un numéro de téléphone qui brille au bas de l’écran.

Le première soirée (lundi), l’animatrice demandait au public de trouver le nom d’une ville canadienne formé avec ces lettres : N O R T O T . Le blogueur a immédiatement pensé à Toronto mais, non, il manque un O. Attente, attente et attente, pendant que l’animatrice nous parle et nous incite à appeler pour gagner la cagnotte et tout ça pour seulement $1 par appel. "Allez ! C’est rien ! Juste une piasse pour gagner $300. Allez québécois !". Finalement, au bout d’une dizaine de minutes, le téléphone sonne en studio et l’appelant déclare … Toronto ! Yéééé vous venez de gagner $300.

La question suivante ? Additionnez ces nombres et ces chiffres. Sur le tableau, on peut lire UN, 13, 4, DIX, 8, SEPT. Bon ! Me semble que ça donne 43 mais non, un participant a donné ce chiffre et c’est pas bon. Ma blonde-rousse voit une attrape et mentionne que le DIX, ça peut être 509 en chiffres romains. Quinze appels plus tard, un type mentionne le 542. Mais non, c’est pas ça. Finalement, personne ne l’a eu et l’animatrice nous donne la réponse : 71. Aucune explication pour le mode de calcul ! On passe à la question suivante.

Nommez l’ancien joueur du Canadien qui se cache derrière ces lettres :

M _ _ _ _ C _

R _ _ H _ _ D

Croyez-le ou non, aucune réponse durant les 15 premières minutes malgré l’évidence de la réponse. Pourquoi me direz-vous ? Mais pour accumuler les piastres des appelants. Imaginez la fille qui n’arrête pas de parler pendant ces 15 minutes pour vous inciter à appeler. De quoi peut-elle bien vous parler ? De trucs pour essayer de deviner le mot ! Wow !

Le décor ? Un cubicule de 10 pieds par 10 pieds avec arrière-fond bleu plus lettrage et chiffrage en surimpression. Petite musique disco en trame musicale avec des applaudissements enregistrés à l’occasion. Et l’animatrice qui se meut là-dedans pendant … 90 minutes sans aucune interruption commerciale ! Un exploit d’ineptie.

Allez-y voir juste pour réaliser comment certains postes de télé nous prennent pour des abrutis congénitaux ! Vous ne croirez pas ce que vous verrez. Parole de blogueur ... si ça vaut quelque chose … :-)

Diamants

Ce matin, au pied de l'escalier ...

Clic pour détails

L'or de l'Abitibi

Je veux dire ... la voix d'or de l'Abitibi.

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Vous avez entendu cette nouvelle pub vantant les mérites d'un séjour en Abitibi-Témiscamingue ? Et l'espèce de voix d'ange qui accompagne les images tournées pour vous inciter à aller y faire un tour ?

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Hé bien cette voix envoûtante, elle appartient à Isabelle la fille de Zoreilles, la blogueuse de ce coin de pays qui figure au bas de ma liste (à cause du Z bien sûr !). Et le chum de sa fille manipulait une des caméras. Du talent ... boréal ... comme les aurores !