samedi 17 octobre 2009

Méchant crétin

Benoît Labonté, le numéro deux dans l'équipe Vision Montréal de Louise Harel, aurait reçu $25,000 du célèbre Tony Accurso, le constructeur "à la mode" à Montréal, lors d'un déjeûner tenu en 2008.

Pour sa défense, Benoît Labonté déclare que le déjeûner en question n'est pas inscrit à son agenda.

En fait de comédien, on a déjà vu mieux. Hey ! Inscription à l'agenda ... Ça serait un peu plus crédible s'il nous disait où il était effectivement ce fameux matin-là !

Je travaille aux communications pour un pote à moi qui se présente comme candidat de l'équipe Harel. Il est en bô tabar et songe même à démissionner ... à deux semaines du scrutin.

À suivre ...
Voilà. c'est fait. Il a démissionné. Pas mon chum. L'autre, le filou.

6 commentaires:

Drew a dit…

Oh boy... Justement je pensais à cet ami dont tu m'as parlé avant de finir de lire ton billet.

Effectivement, il doit être en beau calisse!

crocomickey a dit…

Là ça se calme un peu parce que l'autre a démissionné de ses responsabilités. J'ai trouvé louise Harel très déterminée en demandant aux dénonciateurs de se montrer la face ...

Là c'est à eux de faire face à la musique !

Anonyme a dit…

ça lève ou ça cale...

Anonyme a dit…

Pas certain que les délateurs, si ce qu'ils disent est vrai, peuvent s'identifier.

Et puis, dire une vérité est une chose, le prouver en est une autre.

La politique municipale, qu'il s'agisse d'un tout petit village ou d'une grande métropole. c'est rarement propre.

J'aime bien madame Harel, mais ne rêvons pas...

Accent Grave

Barbe blanche a dit…

amen
le loup a quitté la bergerie,c'est une bonne chose pour vous autre.
Mme Harel a fait sa job.

Rosette ou Rosie, c'est pareil a dit…

J'appuie totalement Accent Grave quand il déclare que la politique municipale est rarement propre... Lors des dernières élections, le caca qui a volé tout partout dans mon patelin qui, soit dit en passant, ne compte qu'environ
50 000 habitants, ne sentait pas trop bon.
Et quant à Louise Harel et tout le scandale que sa candidature (unilingue) a soulevé, est-il vraiment nécessaire de se rappeler qu’au Québec, le français est la langue officielle, publique, commune, normale et habituelle de l’État, de l’administration, du travail, de l’enseignement, des communications, du commerce et des affaires? Le Québec est français et Montréal aussi, si je ne m'abuse.
Bon... Je me la boucle... Je suis une exilée en furie, parce que la presse anglophone s'est de nouveau déchaînée pour une connerie...
Chut! Je ne dis vraiment plus rien, là...