Le vieux snoro. Frappe encore dans le mille, là où nous n'y aurions pas pensé. C'est ICI.
Imaginez-vous qu'il a inventé un vaccin contre l'hystérie.
Et cette phrrase sublime en conclusion :
" J'ajouterai que la banalisation, si décriée dans ce monde, où la banalité est pourtant l'ultime référence culturelle, la banalisation, donc, à dose homéopathique bien sûr, est un excellent remède è l'hystérie."
Cette manie de voir des choses pas comme les autres. Cré Foglia ...
Allez y lire.
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12 commentaires:
Yesss mon cher: j'ai lu ce matin et j'ai particulièrement trouvé truculent cette phrase ci:
"Ce que je trouve extraordinaire des blogues, c'est que la plupart, comme les égouts, drainent la marde par des canaux souterrains et qu'ainsi rien n'affleure à la surface."
Ce que j'ai toujours aimé chez Foglia, c'est qu'il n'y va pas avec le dos de la cuillère... Il écrit ce qu'il pense, n'y va pas par quatre chemins et ne coupe pas les cheveux en quatre... En d'autres termes : tiens-toé ! C'est à prendre ou à laisser ; on aime ou on aime pas. Moi, je prends et j'aime.
J'aime quand il parle de ses chats, ou de livres. Pour le reste, il y va un peu fort, et je lis rarement ses chroniques, précisément pour ça. Comme tu dis Rosie, on aime ou on aime pas...
En effet, ma Lise... :-)
Ecore un combattant de l'hypocrisie et de la mascarade.
Décidément, tu m'auras fait connaître de beaux esprits, toué.
Homéopatiquement qu'il disait, mon cher cousin ...
@Lechim
Qu'est ce que ça veut dire si on n'aime pas tous les textes de Foglia? Rien n'est tout blanc, ni tout noir, il y a beaucoup de nuances entre les deux me semble...
J'aimais bien le lire malgré tout, jusqu'au jour où j'ai vu Monique Proulx (un(e) auteur(e) d'ici, qui a une écriture magnifique) à la télé en entrevue, venue présenter son dernier livre. Un de ses livres de nouvelles (Les Aurores Montréales, plus ancien) en contenait une , qui lui était dédiée, en témoignage d'admiration. Il ne lui a plus jamais reparlé depuis; j'ignore si le pastische lui a déplu ou si elle avait touché une zone sensible, mais elle en a eu du chagrin. Et d'ailleurs elle était mal à l'aise d'en parler, mais l'animateur lui avait posé la question.
Personne n'est parfait, mais la bouderie, pas capable! Disons que je le vois sous un autre angle depuis...
:)
J'ai lu cette nouvelle imaginant Foglia qui reçoit une admiratrice. J'avais bien aimé et j'ai trouvé ça con qu'il en veuille à l'auteur. Mais ça ne change rien à la valeur de ses textes lorsqu'ils sont sublimes ...
Vrai, tu as raison. J'aimerais juste qu'il soit capable de voir les nuances entre le noir et blanc...
Mais la rancune, la bouderie, ça ne fait que détruire. Et entre humains intelligents il est toujours possible de s'expliquer, il me semble.
En tout cas, bonne fin de semaine croco!
Croco, avec un C majuscule, désolée...
Misère!
Donc, bonne fin de semaine Croco, majuscule personne! Prends soin de toi!
:)
Et Croco,
si j'avais utilisé l'option Blogger, j'aurais supprimé mes commentaires ci-dessus, alors ne te gêne pas pour le faire si tu veux. Des fois je parle trop, ou plutôt j'écris trop, malgé mon clavier qui a des ratés...
@ Esil
Je crois que la bouderie ou l’indifférence est peut être le plus cruel des châtiments, et peut concevoir votre compassion pour M. Proulx.
Il est pourtant possible d’apprécier les deux puisque leur dissentiment est le leur et nous échappe. On ne peut pas se prendre le poids des affaires de tout un chacun.
Pour soi même, et sans relâche, il faut égoïstement et honnêtement, avec son vécu et sa réalité, cultiver son affranchissement, son autonomie, sa liberté, son bonheur, sans atermoiements, sans se retourner, sachant qu’au bout du compte, « on est toujours tout seul au monde ».
J’aime les auteurs qui « ouvrent » les esprits et nous aident à abandonner nos seaux et à sortir du bac à sable, nous démasquent aussi les joueurs de pipeau, et les belles entourloupes.
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